000 | 02136cam a2200241 i 4500 | ||
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001 | 7 | ||
010 | _a978-2-7186-0950-8 | ||
090 | _a7 | ||
099 | _tLIVR | ||
100 | _a20230613 frey50 | ||
101 | 0 | _afre | |
200 |
_aThéorie et pratique _ecours de l'ENS-Ulm 1975-1976 _fJacques Derrida _gAlexander García Düttmann _bLIVR |
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210 |
_aParis, France _d2017 |
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215 | _a(175 p.) | ||
330 | _aLa 4e de couverture indique : "Jacques Derrida a tenu ce séminaire sur le rapport entre théorie et pratique à l’École normale supérieure où il enseignait dans les années 1970. L’intérêt philosophique et historique des neuf séances du séminaire réside dans la discussion serrée de Marx, et notamment de la fameuse onzième "Thèse sur Feuerbach", ainsi que dans l’analyse des écrits d’Althusser. Jusqu'à présent, on a pu croire que, à l'exception de quelques allusions, Derrida n’avait commencé à traiter de Marx de façon systématique et approfondie qu'au début des années 1990, quand il publia Spectres de Marx. Or, ce séminaire, qui date de 1975-1976, montre qu'il n'en est rien. "Faut le faire" : Derrida se sert de cette phrase idiomatique comme fil conducteur de son séminaire. Il exploite toutes les ressources qu’elle lui offre pour parler du rapport entre théorie et pratique. Ainsi, il distingue entre deux "accentuations" différentes de l’idiome : d’une part, "faut le faire" signale la nécessité de la pratique, le passage du contempler et du dire à l’agir et au faire, mais d’autre part, "faut le faire" peut aussi renvoyer à une détermination pratico-révolutionnaire plutôt qu’à une détermination théorique de la praxis, comme si, afin d’être révolutionnaire, la praxis devait déjouer l’opposition entre théorie et pratique, et se déterminer à partir d’elle-même." | ||
610 | _aB | ||
610 | _aKarl (1818-1883). Ad Feuerbach | ||
610 | _aMarx | ||
610 | _aPratique (philosophie) | ||
610 | _aThéorie (philosophie) | ||
700 |
_aDerrida _bJacques _4070 _92275 |
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702 |
_aGarcía Düttmann _bAlexander _92276 |
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801 |
_aTN _b32bis _c20230514 _gUNIMARC |