000 01887cam a2200229 i 4500
001 598
010 _a978-2-13-058393-6
090 _a598
099 _tLIVR
100 _a20230613 frey50
200 _aEmpirisme et subjectivité
_eessai sur la nature humaine selon Hume
_fGilles Deleuze
_bLIVR
210 _aParis, France
_d2010
215 _a(152 p.)
330 _aLa 4ème de couverture indique : « Avec Hume, l'empirisme ne se définit plus essentiellement par l'origine sensible des idées. Il développe trois problèmes, les relations, les cas, les illusions. D'une part, les relations sont toujours extérieures à leurs termes, et dépendent de principes d'association qui en déterminent l'établissement et l'exercice (croyance). D'autre part, ces principes d'association n'agissent qu'en fonction des passions, pour indiquer des “cas” dans un monde de la culture ou du droit : c'est tout l'associationnisme qui est au service d'une pratique du droit, de la politique et de l'économie (suffit-il, pour devenir propriétaire d'une cité abandonnée, de lancer un javelot sur la porte, ou faut-il toucher la porte du doigt ?). Enfin, de telles règles de légitimité des relations peuvent-elles être séparées des fictions, des croyances illégitimes qui les accompagnent ou les doublent ? Si bien que la philosophie est moins critique des erreurs que dénonciation des illusions inévitables. Dans tous ces domaines, l'empirisme opère la substitution de la croyance pratique au savoir, dans une entreprise athée qui consiste à naturaliser la croyance. »
610 _aDavid (1711-1776) – Critique et interprétation
610 _aDavid (1711-1776). Treatise of human nature
610 _aEmpirisme
610 _aHume
610 _aPhilosophie de l'homme
610 _aSubjectivité
700 _aDeleuze
_bGilles
_4070
801 _aTN
_b32bis
_c20230514
_gUNIMARC