000 01414cam a2200217 i 4500
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010 _a978-2-7073-2339-2
090 _a51
099 _tLIVR
100 _a20230613 frey50
200 _aSentir le grisou
_fGeorges Didi-Huberman
_bLIVR
210 _aParis, France
_d2014
215 _a(101 p.)
330 _a"L’artiste est inventeur de temps. Il façonne, il donne chair à des durées jusqu’alors impossibles ou impensables : apories, fables chroniques. En ce sens pourrait-on dire qu’il « sent le grisou » de l’histoire. Mais comment sentir le grisou, ce gaz incolore et inodore ? Comment voir venir le temps ? Les mineurs, autrefois, utilisaient des oisillons en cage comme « devins » pour les coups de grisou : mauvais augure quand le plumage frémissait. Le frémissement des images ne pourrait-il pas, lui aussi, remplir cet office mystérieux ? C’est ce qu’on tente ici de suggérer à travers un libre commentaire de quelques images « remontées du fond de la mine » mais, surtout, de La rabbia, l’admirable film d’archives politico-poétique de Pier Paolo Pasolini." (soucre : 4e de couv.)
610 _afilm)
610 _aLa rabbia (primera parte
610 _aPasolini
610 _aPier Paolo (1922-1975) – Critique et interprétation
610 _aPN1995.9.M54. D53 2014
700 _aDidi-Huberman
_bGeorges
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