000 02245cam a2200277 i 4500
001 1333
010 _a978-2-86589-073-6
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099 _tLIVR
100 _a20230613 frey50
101 0 _afre
200 _aLes cabinets d'art et de merveilles de la Renaissance tardive
_eune contribution à l'histoire du collectionnisme
_fJulius von Schlosser
_fPatricia Préfacier Falguières
_fLucie Marignac
_bLIVR
210 _aParis, France
_d2012
215 _a(368 p.)
330 _a« Schlosser retrace la genèse de ces chambres de merveilles pour s’acheminer vers les formes modernes auxquelles elles ont abouti, les musées. De façon inattendue, il débute son étude avec les tatouages et autres ornements corporels : comme il le dit « l’homme primitif se déplace avec sa propre collection de trésors partout où il va ». Initié aux notions de collection et de possession, le lecteur assiste au passage de la collection personnelle, réservée à l’espace privé à une collection qui s’ouvre au public. Le lecteur suit Schlosser dans ses pérégrinations européennes, alors qu’il passe en revue les différentes façons de montrer l’art, de la Grèce antique au début du XXe siècle européen. […] Le cœur des Cabinets d’art et de merveilles de la Renaissance tardive est consacré à un trésor de la Maison d’Autriche, la collection du château d’Ambras, près d’Innsbruck, rassemblé dans la seconde moitié du XVIe siècle par l’archiduc Ferdinand II de Habsbourg, prince du Tyrol, collection que l’auteur connaît particulièrement bien pour en être le conservateur au moment où il écrit cet essai. [...] » (source : résumé p. [372])
610 _aarchiduc du Tyrol) – Collections d'art
610 _aCabinets d'amateurs – Europe – 1500-1800
610 _aCabinets d'amateurs – Renaissance
610 _aCollectionneurs et collections – Europe – 1500-1800
610 _aCollectionneurs et collections – Renaissance
610 _aFerdinand II (1529-1595
610 _aN1010. .S3414 2012
700 _aFalguières
_bPatricia
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_bJulius von
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_gUNIMARC