Les cabinets d'art et de merveilles de la Renaissance tardive : une contribution à l'histoire du collectionnisme / Julius von Schlosser / Patricia Préfacier Falguières / Lucie Marignac [Livre]
Langue : français.Publication : Paris, France : 2012Description : (368 p.)ISBN : 978-2-86589-073-6.Résumé : « Schlosser retrace la genèse de ces chambres de merveilles pour s’acheminer vers les formes modernes auxquelles elles ont abouti, les musées. De façon inattendue, il débute son étude avec les tatouages et autres ornements corporels : comme il le dit « l’homme primitif se déplace avec sa propre collection de trésors partout où il va ». Initié aux notions de collection et de possession, le lecteur assiste au passage de la collection personnelle, réservée à l’espace privé à une collection qui s’ouvre au public. Le lecteur suit Schlosser dans ses pérégrinations européennes, alors qu’il passe en revue les différentes façons de montrer l’art, de la Grèce antique au début du XXe siècle européen. […] Le cœur des Cabinets d’art et de merveilles de la Renaissance tardive est consacré à un trésor de la Maison d’Autriche, la collection du château d’Ambras, près d’Innsbruck, rassemblé dans la seconde moitié du XVIe siècle par l’archiduc Ferdinand II de Habsbourg, prince du Tyrol, collection que l’auteur connaît particulièrement bien pour en être le conservateur au moment où il écrit cet essai. [...] » (source : résumé p. [372]).Sujet: archiduc du Tyrol) – Collections d'art | Cabinets d'amateurs – Europe – 1500-1800 | Cabinets d'amateurs – Renaissance | Collectionneurs et collections – Europe – 1500-1800 | Collectionneurs et collections – Renaissance | Ferdinand II (1529-1595 | N1010. .S3414 2012 Type de document : LivreType de document | Site actuel | Localisation | Cote | Statut | Date de retour prévue | Code à barres | |
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Livre | The 32bis Library | Salle de lecture 32BIS | 708.009 SCH (Parcourir l'étagère(Ouvrir ci-dessous)) | Disponible | 001326 |
« Schlosser retrace la genèse de ces chambres de merveilles pour s’acheminer vers les formes modernes auxquelles elles ont abouti, les musées. De façon inattendue, il débute son étude avec les tatouages et autres ornements corporels : comme il le dit « l’homme primitif se déplace avec sa propre collection de trésors partout où il va ». Initié aux notions de collection et de possession, le lecteur assiste au passage de la collection personnelle, réservée à l’espace privé à une collection qui s’ouvre au public. Le lecteur suit Schlosser dans ses pérégrinations européennes, alors qu’il passe en revue les différentes façons de montrer l’art, de la Grèce antique au début du XXe siècle européen. […] Le cœur des Cabinets d’art et de merveilles de la Renaissance tardive est consacré à un trésor de la Maison d’Autriche, la collection du château d’Ambras, près d’Innsbruck, rassemblé dans la seconde moitié du XVIe siècle par l’archiduc Ferdinand II de Habsbourg, prince du Tyrol, collection que l’auteur connaît particulièrement bien pour en être le conservateur au moment où il écrit cet essai. [...] » (source : résumé p. [372])
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