L'oeil du Quattrocento : l'usage de la peinture dans l'Italie de la Renaissance / Michael Baxandall / Yvette Delsaut [Livre]
Langue : français.Publication : Paris, France : 2020Description : (227; 64 p.)ISBN : 978-2-07-287814-5.Résumé : Histoire sociale et histoire de l’art ne font qu’un : c’est ce qu’après tant d’études qui ne se sont intéressées qu’à la signification propre de l’œuvre d’art, ou à sa signification purement sociale, illustre admirablement Michael Baxandall (1933-2008), historien anglais, sur l’exemple de la peinture italienne de la Renaissance. À quelle demande exacte répondaient Masaccio, Filippo Lippi, Andrea del Castagno ou Fra Angelico? De quel sens leurs œuvres étaient-elles chargées, et comment les regardaient leurs destinataires et leurs commanditaires? C’est à ce type de questions que répond l’auteur en analysant le marché de l’art, à travers les contrats, les correspondances et les registres de comptes. En montrant aussi comment les dispositions visuelles nées de la vie quotidienne, religieuse, sociale ou commerciale de l’époque sont devenues des éléments déterminants du style du peintre. Retrouver l’œil du Quattrocento, c’est rafraîchir le nôtre. (4e de couverture). Type de document : LivreType de document | Site actuel | Localisation | Cote | Statut | Notes | Date de retour prévue | Code à barres | |
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Livre | The 32bis Library | Magasin | 759.5 BAX (2) (Parcourir l'étagère(Ouvrir ci-dessous)) | Disponible | RMR | 005019 | ||
Livre | The 32bis Library | Salle de lecture 32BIS | 759.5 BAX 1 (Parcourir l'étagère(Ouvrir ci-dessous)) | Disponible | 001188 |
Histoire sociale et histoire de l’art ne font qu’un : c’est ce qu’après tant d’études qui ne se sont intéressées qu’à la signification propre de l’œuvre d’art, ou à sa signification purement sociale, illustre admirablement Michael Baxandall (1933-2008), historien anglais, sur l’exemple de la peinture italienne de la Renaissance. À quelle demande exacte répondaient Masaccio, Filippo Lippi, Andrea del Castagno ou Fra Angelico? De quel sens leurs œuvres étaient-elles chargées, et comment les regardaient leurs destinataires et leurs commanditaires? C’est à ce type de questions que répond l’auteur en analysant le marché de l’art, à travers les contrats, les correspondances et les registres de comptes. En montrant aussi comment les dispositions visuelles nées de la vie quotidienne, religieuse, sociale ou commerciale de l’époque sont devenues des éléments déterminants du style du peintre. Retrouver l’œil du Quattrocento, c’est rafraîchir le nôtre. (4e de couverture)
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